"Évolution"
une exposition du sculpteur André Ferron
du lundi 6 juin au samedi 2 juillet 2011
Espace Georges Laoun, Opticien
4012, rue Saint-Denis (coin Duluth), Montréal
Vernissage le mercredi 8 juin, 17h00 à 18h30
une exposition du sculpteur André Ferron
du lundi 6 juin au samedi 2 juillet 2011
Espace Georges Laoun, Opticien
4012, rue Saint-Denis (coin Duluth), Montréal
Vernissage le mercredi 8 juin, 17h00 à 18h30
Heures d'ouverture:
lundi au mercredi: 10h à 18h
jeudi au vendredi: 10h à 21h
samedi: 10h à 17h
fermé le dimanche
Entrée libre
Le Messager de LaSalle, 30 mai 2011
Le Vadrouilleur urbain (Arts Visuels)
Georges Laoun, Opticien
André Ferron interprète à sa manière le thème de l’évolution. Il nous présente une série de sculptures éclectiques, surréalistes et souvent ludiques, inspirées de ce que journaux, télé, radio, internet nous aspergent à profusion, des percées scientifiques qualifiées de bénéfiques qui dans les faits s’avèrent inutiles, voir dommageables pour l’environnement. Des informations manipulées à souhait, auxquelles l’artiste contribue en illustrant ce qui inconsciemment ou non atteint un coin de son cerveau, lequel guide ses mains.
L’artiste affectionne tout particulièrement la terre pour ses sculptures, les faïences rouge, noire et blanche, qu’il agrémente parfois de métal afin d’illustrer les conséquences imaginées des multiples agressions que nous infligeons à la nature. Laissées à l’état pur sans glaçure, tout en contraste et relief, certaines sculptures d’André Ferron prennent vie par le mélange des différentes teintes de terre amalgamées, d’autres conservent la pureté d’une seule couleur. Les œuvres, tant animalières qu’humaines, sont agréables à l’œil, intriguent et font sourire.
lundi au mercredi: 10h à 18h
jeudi au vendredi: 10h à 21h
samedi: 10h à 17h
fermé le dimanche
Entrée libre
Le Messager de LaSalle, 30 mai 2011
Le Vadrouilleur urbain (Arts Visuels)
Georges Laoun, Opticien
André Ferron interprète à sa manière le thème de l’évolution. Il nous présente une série de sculptures éclectiques, surréalistes et souvent ludiques, inspirées de ce que journaux, télé, radio, internet nous aspergent à profusion, des percées scientifiques qualifiées de bénéfiques qui dans les faits s’avèrent inutiles, voir dommageables pour l’environnement. Des informations manipulées à souhait, auxquelles l’artiste contribue en illustrant ce qui inconsciemment ou non atteint un coin de son cerveau, lequel guide ses mains.
L’artiste affectionne tout particulièrement la terre pour ses sculptures, les faïences rouge, noire et blanche, qu’il agrémente parfois de métal afin d’illustrer les conséquences imaginées des multiples agressions que nous infligeons à la nature. Laissées à l’état pur sans glaçure, tout en contraste et relief, certaines sculptures d’André Ferron prennent vie par le mélange des différentes teintes de terre amalgamées, d’autres conservent la pureté d’une seule couleur. Les œuvres, tant animalières qu’humaines, sont agréables à l’œil, intriguent et font sourire.
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